Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.

Votre recherche ...

Nuage de mots clés

Photographie | Biologie marine | Biologie des récifs coralliens | Récifs | Récifs coralliens -- Faune | Récifs coralliens | Animaux des récifs coralliens | Mer Rouge | six-minutes-pour-la-mer-rouge | Animaux des récifs | Récifs coralliens -- Écologie | Poisson-crocodile tapis | Papilloculiceps longiceps | Poisson-coffre jaune | Récifs coralliens -- Biologie | Ostracion cubicus | Gravure | Animaux marins | Méduses | Dessins et plans | ...
Méduses en aquarium. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7c23a-meduses-en-aquarium

Méduses en aquarium

Méduses dans l'aquarium d'Atlanta. Très souvent fuie à cause de ses cellules urticantes, la méduse a néanmoins des prédateurs. Les deux plus grands consommateurs de méduses sont la tortue Luth dont elle est le mets favori, et le poisson lune. Le thon rouge en est aussi très friand. Dans une moindre mesure, des crustacés apprécient le cadavre de certaines espèces. La surpêche ou la disparition des espèces prédatrices des méduses (thons, harengs, anchois, tortues), la disparition de leurs concurrentes telles que les sardines qui augmentent la quantité de nourriture disponible, « la destruction des fonds marins par les chalutiers qui favorise leur reproduction, le réchauffement des eaux, et l'eutrophisation des milieux côtiers » stimulent leur prolifération, au point que les chercheurs Philippe Cury et Daniel Pauly font la conjecture provocatrice qu'« il nous faudra nous contenter de manger des méduses ! » Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9duse_%28animal%29 ; Philippe Cury et Daniel Pauly, Mange tes méduses !, Éditions Odile Jacob,‎ 2013, 224 p.

Mérou brun. Source : http://data.abuledu.org/URI/548d6333-merou-brun

Mérou brun

Mérou brun (Epinephelus marginatus) - Banyuls-sur-Mer, Sec de rédéris en zone de protection renforcée, (= réserve intégrale, RI). Ce poisson vit entre 20 et 200 mètres de profondeur, près du fond, dans les zones rocheuses accidentées. On le trouve dans toute la Méditerranée. Il est solitaire, sauf au moment du frai. Cette espèce consomme seiches, poulpes, calmars. Le mérou brun a bien failli disparaître des côtes du Nord de la Méditerranée, victime de sa placidité et de la facilité qu'ont eu les hommes à le pêcher. Néanmoins, en France notamment, suite à un moratoire sur sa pêche (sous-marine et à l'hameçon), le mérou brun est de plus en plus fréquent sur les côtes. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Epinephelus_marginatus

Mimétisme de la seiche. Source : http://data.abuledu.org/URI/5850022d-mimetisme-de-la-seiche

Mimétisme de la seiche

Mimétisme de la seiche.

Mimétisme de la seiche. Source : http://data.abuledu.org/URI/585003e7-mimetisme-de-la-seiche

Mimétisme de la seiche

Mimétisme de la seiche (Sepia latimanus).

Mimétisme de la seiche. Source : http://data.abuledu.org/URI/5850050d-mimetisme-de-la-seiche

Mimétisme de la seiche

Mimétisme de la seiche (Sepia latimanus).

Morphologie d'une limace de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/58490bfa-morphologie-d-une-limace-de-mer

Morphologie d'une limace de mer

Photo de vue dorsale d'une limace de mer "Berghia stephanieae" (Valdés, 2005). Légende : ot = palpes pour « palper » le terrain ; ft = angles antérieurs du pied ; e = œil ; r = rhinophores : organe de l'« odorat » ; c = papilles qui servent de branchies ; cn = cnidosac.

Morse. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fe96f0-morse

Morse

Le morse est parfaitement reconnaissable à ses défenses, ses moustaches drues et son allure massive. Les mâles adultes du Pacifique peuvent peser jusqu'à deux tonnes et, parmi les membres de l'ancien sous-ordre des pinnipèdes, l'espèce n'est dépassée en taille que par les éléphants de mer. Le morse vit principalement dans les eaux peu profondes des plateaux continentaux, passant une part importante de son existence sur les blocs de glace ou les icebergs dérivant en mer. De ces plates-formes, il part à la recherche de sa nourriture de prédilection, les mollusques bivalves du benthos. C'est un animal sociable, à l'espérance de vie d'environ 40 ans, et considéré comme une espèce clé des écosystèmes marins de l'Arctique.

Mostelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/52778907-mostelle

Mostelle

Mostelle brune, Croatie.

Nutrition des éponges. Source : http://data.abuledu.org/URI/56c9c654-nutrition-des-eponges

Nutrition des éponges

Processus de nutrition par filtration de l'eau d'une éponge syconoïde ou leuconoïde (a: pore inhalant; b: particule organique; c: particule inorganique; d et f: amibocyte (phagocyte); e: choanocyte; g: vacuole digestive; h: corbeille vibratile; i: pore exhalant).

Orque. Source : http://data.abuledu.org/URI/50ec04c1-orque

Orque

L'orque ou épaulard (Orcinus orca) est une espèce de mammifère marin du sous-ordre des cétacés à dents, les odontocètes. Ce cétacé est facilement reconnaissable à sa livrée noire et blanche et à la taille de sa nageoire dorsale qui peut atteindre 2 mètres de hauteur chez les mâles. L'orque est une redoutable chasseuse. Son alimentation est essentiellement constituée de poissons, de manchots et d’autres mammifères marins (lions de mer, otaries, phoques, marsouins, baleines).

Pieuvre. Source : http://data.abuledu.org/URI/51024ef1-pieuvre

Pieuvre

Pieuvre et poulpe sont des noms vernaculaires ambigus désignant en français certains céphalopodes benthiques du super-ordre Incirrina. Ces animaux se caractérisent par leurs huit bras — pouvant comporter chacun jusqu'à plus de 200 ventouses — et leur relative intelligence. Le corps est entièrement mou hormis un bec comparable à celui des perroquets.

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2fa7-planche-de-cephalopodes-gamochonia-en-1909

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904

Planche de céphalopodes Gamochonia, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 54 : Chiroteuthis veranyi, Histioteuthis rüppellii, Pinnoctopus cordiformis, Octopus vulgaris, Octopus granulatu. Les céphalopodes (Cephalopoda, du grec képhalé, la tête, et pous, podos, le pied) sont des animaux de l'embranchement des mollusques, dont le pied, divisé en bras, surmonte la tête. Leur tête, distincte de la masse viscérale, comporte un véritable cerveau contenu dans un crâne cartilagineux ; des yeux perfectionnés, un bec corné, etc. Leur pied, qui s'attache à la tête, est divisé en bras munis de ventouses. Le manteau ventral, contractile, constitue avec le siphon un puissant organe de locomotion. Les céphalopodes existent depuis la fin du Cambrien, il y a 500 millions d'années. Les céphalopodes actuels sont des prédateurs marins. Ils se nourrissent de mollusques, de poissons, et de crustacés. Ils tiennent leur proie avec leurs bras, et la déchiquettent avec leur bec corné. Quand ils sont sédentaires, on peut facilement repérer leur présence par l'amas de coquilles vidées devant leur trou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9phalopode

Planche de crustacés decapoda en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2d1d-planche-de-crustaces-decapoda-en-1909

Planche de crustacés decapoda en 1904

Planche de décapodes, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 86 : Parthenope horrida, Podophthalmus vigil, Pisa armata, Gonoplax rhomboides, Pisolambrus nitidus, Stenopus hispidus, Palaemon serratus, Albunea symnista, Lissa chiragra, Birgus latro. Les Decapoda (du grec deca = dix, et podos = pied) sont par définition des crustacés possédant 5 paires de pattes. Cet ordre comprend notamment quelques crustacés bien connus, tels que les galathées, les crabes, les crevettes, les écrevisses ou encore les homards et langoustes. Les Decapoda sont des animaux carnassiers. La plupart sont marins. Il en est un certain nombre qui vivent dans les eaux douces (écrevisse), et d'autres qui peuvent mener une existence terrestre, dans des endroits humides. Les décapodes ont ordinairement la tête et la région thoracique soudées en une masse commune, ou céphalothorax, revêtue d'une carapace solide et d'une grande résistance. Leur carapace est très calcifiée. Leurs appendices thoraciques comprennent trois paires de pattes-mâchoires, et seulement cinq paires de pattes locomotrices. De ces dernières est tiré le nom des décapodes. La formule appendiculaire est (2+1+2) + (3+5) + 6. C'est le type le mieux équilibré. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Decapoda

Planche de mollusques Nudibranches en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d490e-planche-de-nudibranches-en-1909

Planche de mollusques Nudibranches en 1904

Planche de mollusques gastéropodes Nudibranches, par Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 43 : Hermaea bifida, Aeolis coronata, Dendronotus arborescens, Idalia elegans, Doto coronata, Tritonia Hombergii, Ancula cristata. Ces animaux marins sont caractérisés par leurs branchies nues, non protégées par une coquille.

Planche Deyrolle des animaux rayonnés. Source : http://data.abuledu.org/URI/56f84484-planche-deyrolle-des-animaux-rayonnes

Planche Deyrolle des animaux rayonnés

Planche Deyrolle des animaux rayonnés.

Planche N°6 de biologie marine. Source : http://data.abuledu.org/URI/52cdd839-planche-n-6-de-biologie-marine

Planche N°6 de biologie marine

Tubulariae. Planche 6 de "Formes artistiques de la Nature" (Kunstformen der Natur), 1904, livre de lithographies illustratives de sciences naturelles publié par le biologiste allemand Ernst Haeckel (1834-1919) dont les représentations eurent une influence décisive sur le courant de l'Art nouveau au début du XXe siècle, et notamment l'École de Nancy. Codonium codonophorum (Coryne prolifera, Forbes, 1848) ; Dipurena dolichogaster ; Sarsia tubulosa ; Thamnocnidia coronata (Ectopleura larynx, Ellis & Solander, 1786) ; Monocaulus pendulus (Corymorpha pendula L.Agassiz, 1862) ; Tubuletta splendida ; Syncoryne pulchella (Coryne pulchella, Allman, 1865) ; Myriothela phrygia (Candelabrum phrygium, Fabricius, 1780).

Plantes de la mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/524dea3b-plantes-de-la-mer

Plantes de la mer

Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.228 ; manuel scolaire, édition de 1904 : PLANTES DE LA MER. - Sous la mer, il existe des montagnes et des vallées, des vallées impénétrables, de vastes prairies où viennent brouter les animaux marins. Les principales plantes de la mer sont les algues et les varechs. On y trouve aussi un grand nombre d'animaux-plantes, comme le corail et la méduse représentés dans la gravure.

Poisson-ange imperator en Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/55439069-poisson-ange-imperator-en-australie

Poisson-ange imperator en Australie

Poisson-ange de mer impérial (Pomocanthus imperator) adulte. Récifs coralliens de Townsville, Queensland. Novembre 1989.

Poisson-coffre jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/555c8d26-poisson-coffre-jaune

Poisson-coffre jaune

Ostracion cubicus mesure jusqu'à 45 cm. Les sexes sont indifférenciés. La coloration des adultes varie du jaune au brun parsemée de taches bleues (parfois blanches ou brunes). A contrario les juvéniles sont tachetés de noir sur un corps jaune vif. Par ailleurs ils sont plus trapus que les adultes.

Poisson-coffre jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/555c8d3e-poisson-coffre-jaune

Poisson-coffre jaune

Ostracion cubicus mesure jusqu'à 45 cm. Les sexes sont indifférenciés. La coloration des adultes varie du jaune au brun parsemée de taches bleues (parfois blanches ou brunes). A contrario les juvéniles sont tachetés de noir sur un corps jaune vif. Par ailleurs ils sont plus trapus que les adultes.

Poisson-coffre jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/555c8d4a-poisson-coffre-jaune

Poisson-coffre jaune

Ostracion cubicus mesure jusqu'à 45 cm. Les sexes sont indifférenciés. La coloration des adultes varie du jaune au brun parsemée de taches bleues (parfois blanches ou brunes). A contrario les juvéniles sont tachetés de noir sur un corps jaune vif. Par ailleurs ils sont plus trapus que les adultes.

Poisson-coffre jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/555c8d8c-poisson-coffre-jaune

Poisson-coffre jaune

Ostracion cubicus mesure jusqu'à 45 cm. Les sexes sont indifférenciés. La coloration des adultes varie du jaune au brun parsemée de taches bleues (parfois blanches ou brunes). A contrario les juvéniles sont tachetés de noir sur un corps jaune vif. Par ailleurs ils sont plus trapus que les adultes.

Poisson-coffre jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/555c8dfd-poisson-coffre-jaune

Poisson-coffre jaune

Ostracion cubicus mesure jusqu'à 45 cm. Les sexes sont indifférenciés. La coloration des adultes varie du jaune au brun parsemée de taches bleues (parfois blanches ou brunes). A contrario les juvéniles sont tachetés de noir sur un corps jaune vif. Par ailleurs ils sont plus trapus que les adultes.

Poisson-coffre jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/555c8ef4-poisson-coffre-jaune

Poisson-coffre jaune

Ostracion cubicus mesure jusqu'à 45 cm. Les sexes sont indifférenciés. La coloration des adultes varie du jaune au brun parsemée de taches bleues (parfois blanches ou brunes). A contrario les juvéniles sont tachetés de noir sur un corps jaune vif. Par ailleurs ils sont plus trapus que les adultes.

Poisson-coffre jaune. Source : http://data.abuledu.org/URI/555c8f42-poisson-coffre-jaune

Poisson-coffre jaune

Ostracion cubicus mesure jusqu'à 45 cm. Les sexes sont indifférenciés. La coloration des adultes varie du jaune au brun parsemée de taches bleues (parfois blanches ou brunes). A contrario les juvéniles sont tachetés de noir sur un corps jaune vif. Par ailleurs ils sont plus trapus que les adultes.

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543734e-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/55437395-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/554373a5-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/554373b3-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/554373d0-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/554373e0-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/554373ef-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/554373f8-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/55437413-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/55437422-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poisson-crocodile tapis. Source : http://data.abuledu.org/URI/5543742b-poisson-crocodile-tapis

Poisson-crocodile tapis

Le poisson-crocodile tapis (Papilloculiceps longiceps) est une espèce de poisson de la famille des platycépahlidés et ressemble à un crocodile (d'où son nom).

Poulpe de récif commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/554364f8-poulpe-de-recif-commun

Poulpe de récif commun

Photo d'un poulpe de récif commun prise en Mer Rouge.

Poulpe de récif commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/55436506-poulpe-de-recif-commun

Poulpe de récif commun

Photo d'un poulpe de récif commun prise en Mer Rouge.

Poulpe de récif commun. Source : http://data.abuledu.org/URI/55436512-poulpe-de-recif-commun

Poulpe de récif commun

Photo d'un poulpe de récif commun prise en Mer Rouge.

Prostheceraeus vittatus ou Planaire Blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/53871781-prostheceraeus-vittatus-ou-planaire-blanche

Prostheceraeus vittatus ou Planaire Blanche

Photographie sous marine d'un Prostheceraeus vittatus ou Planaire blanche. C'est un ver plat tout petit (entre 2 et 5cm) qui fait quelques milimètres d'épaisseur. Des cils vibratiles sur son ventre lui permettent de glisser sur le sol. Ces vers plats n'ont pas d'anus et éliminent une partie de leurs excréments par osmose.

Quatre méduses. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7bad6-quatre-meduses

Quatre méduses

Quatre méduses.

Répartition mondiale des espèces de reptiles. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f73011-repartition-mondiale-des-especes-de-reptiles

Répartition mondiale des espèces de reptiles

Répartition mondiale du nombre d'espèces de reptiles par continents. Les reptiles sont présents sur quasiment l'intégralité de la surface du globe, à l'exception des zones trop froides à proximité des pôles. Comme ce sont des animaux à sang froid, ils préfèrent tout de même les températures assez élevées, et leur présence et leur diversité deviennent plus importante à proximité des tropiques. Ainsi, les continents les plus riches en reptiles sont l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud. Les reptiles peuvent s'adapter à des habitats très différents. On les trouve très présents dans les forêts tropicales, avec une très forte diversité d'espèces, mais ils peuplent également les déserts, où l'on retrouve des lézards et des serpents qui s'abritent durant la journée et sortent la nuit. Dans les zones montagneuses les lézards aiment se cacher dans des amas de pierres, et certains serpents se sont spécialisés dans les zones d'altitude comme la Vipère d'Orsini (Vipera ursinii) que l'on trouve dans les hautes montagnes d'Europe à des altitudes avoisinant 2 000 m. Certains reptiles sont dits fouisseurs et passent une partie de leur vie sous la terre comme les amphisbènes. Les reptiles ont également colonisé les milieux aquatiques : les crocodiliens, certaines tortues comme la Cistude d'Europe et certains serpents comme l'anaconda, le Mocassin d'eau et les couleuvres sont à leur aise dans les rivières et lacs d'eau douce, quand les tortues marines sont présentes dans tous les océans du monde, et ne rejoignent la terre ferme que pour se reproduire. Les serpents marins représentent un niveau d'adaptation supérieur, puisqu'ils ne retournent plus du tout à terre pour la plupart d'entre eux, et ont adopté un cycle de vie exclusivement marin. De nombreuses espèces ont des mœurs arboricoles, comme les serpents ou les lézards. Certains peuvent se déplacer d'arbre en arbre en « planant » comme les dragons volants et dans une moindre mesure certains serpents comme les couleuvres volantes.

Requin pélerin. Source : http://data.abuledu.org/URI/5368eeb6-requin-pelerin

Requin pélerin

Le requin pèlerin est un poisson cartilagineux, seul membre non fossile du genre Cetorhinus et seule espèce actuelle de la famille des Cetorhinidae. Pouvant atteindre 12 mètres de long, pour une longueur moyenne de 10 mètres, ce requin est considéré comme le second plus grand poisson vivant actuellement sur Terre après le requin-baleine. Facilement reconnaissable avec sa haute nageoire dorsale et sa bouche distendue lorsqu'il se nourrit, le requin pèlerin se rencontre dans les océans et mers tempérés.

Seiche couleur de sable. Source : http://data.abuledu.org/URI/5850019c-seiche-couleur-de-sable

Seiche couleur de sable

Seiche (Sepia latimanus) changeant de couleur.

Trois crevettes au fond de l'eau. Source : http://data.abuledu.org/URI/53fbb36b-trois-crevettes-au-fond-de-l-eau

Trois crevettes au fond de l'eau

Trois crevettes au fond de l'eau, imagier 2014 de RyXéo.

Variétés de vers annélides sous-marins. Source : http://data.abuledu.org/URI/530dcd03-varietes-de-vers-annelides-sous-marins

Variétés de vers annélides sous-marins

Variétés de vers sous-marins par le botaniste allemand Matthias Jacob Schleiden (1804-1881). Les polychètes (Polychaeta) sont les vers annélides comportant le plus grand nombre d'espèces, soit plus de 10 000. Ce sont des animaux essentiellement marins ou estuariens. On les a divisés en deux groupes : 1) les Sédentaires (fixés au substrat). Les polychètes sédentaires sont principalement tubicoles ; 2) les Errants (capables de mouvements et donc, de se déplacer). Les polychètes errants, comme le genre Nereis, sont des prédateurs munis de mâchoires ou de dents plus ou moins visibles et marquées. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Polychaeta.

Vie sous-marine des jetées de bord de mer. Source : http://data.abuledu.org/URI/5839c879-vie-sous-marine-des-jetees-de-bord-de-mer

Vie sous-marine des jetées de bord de mer

Jetée abandonnée dont les piliers servent de support à toute une faune sous-marine, Vineyard Haven, Massachusetts. Source : The American Museum journal (c1900-1918)

Zones pélagiques. Source : http://data.abuledu.org/URI/50b7ec8d-zones-pelagiques

Zones pélagiques

Couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique ou zone épipélagique, est la zone aquatique comprise entre la surface et la profondeur maximale d’un lac ou d’un océan, exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse se produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité saisonnière. La zone pélagique est divisée en sous-zones, suivant des différences dans leurs caractéristiques écologiques (qui est sensiblement fonction de la profondeur marine) : 1) Épipélagique (de la surface jusqu'à 200 mètres) - Espace où la lumière est suffisante pour permettre la photosynthèse, les plantes et animaux étant largement concentrés dans cette zone. Cet espace est aussi appelé zone photique. Attention toutefois, la zone photique ne concerne que les 100 premiers mètres de la zone épipélagique. En dessous, il ne reste plus que 1 % du rayonnement global (le bleu va plus profondément, le rouge beaucoup moins), ce qui est insuffisant pour la photosynthèse. 2) Mésopélagique (entre 200 et 1 000 mètres) - La lumière arrivant à pénétrer ces profondeurs est insuffisante pour la photosynthèse. Le nom vient du grec μέσον (meson), « milieu ». Cet espace est aussi appelé zone aphotique. 3) Bathypélagique (entre 1 000 mètres et 4 000 mètres) - À cette profondeur, l'océan est presque entièrement sombre (avec simplement les organismes bioluminescents). Il n'y a pas de plantes vivantes et la plupart des animaux survivent en consommant la neige marine des détritus tombant des zones au-dessus, ou par la chasse d'autres organismes. Les calmars géants vivent à cette profondeur, où ils sont chassés par le cachalot. Le nom vient du grec βαθύς (bathys), « profond ». 4) Abyssopélagique (de 4 000 mètres jusqu'à la croûte océanique) - Aucune lumière quelle qu'elle soit ne pénètre à cette profondeur. La plupart des êtres vivants sont aveugles et albinos. Le nom vient du grec άβυσσος (abyssos), « abysse », signifiant « sans fond » (dans les temps anciens, on croyait que l'océan était sans fond). 5) Hadopélagique (les profondeurs des failles océaniques, jusqu'à 11 000 mètres) - Le nom dérive de Hadès, dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Cette zone est en très grande partie inconnue et très peu d'espèces y ont été répertoriées.